Évolutions des transports bordelais
Des pistes de transports explorées et abandonnées
Sur cette page :
- Aout 2020 essai du modèle Lions City 12 E du constructeur MAN
- Octobre 2019 le modèle eCITARO de Mercedes sur la ligne 15
- Bus électrique Bluebus 12 mètres de Bolloré
- Bus électrique GX 337 E du constructeur HEULIEZ
- Le METTIS de la ville de Metz en présentation pour la future ligne G
- BLUECUB les automobiles électriques en location
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Transports et déplacements à Bordeaux |
Présentation en photos du tramway |
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Plan des lignes 6 lignes du tram |
Archives des pistes de transports explorées à Bordeaux |
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Gare Bordeaux Saint Jean le train à 2h de Paris |
Essais à Bordeaux de bus 100% électriques entre 2018 et 2020
Entre 2018 et 2020 plusieurs modèles de bus électriques ont été testés à Bordeaux. En condition réelle, un bus des constructeurs HEULIEZ, BOLLORE, YUTONG, MERCEDES et MAN ont ainsi circulé dans la ville. Les usagers les plus attentifs se souviendront avoir croisé, ou emprunté, l'un de ces modèles durant une courte période. Pourtant, alors que la formule électrique semblait la plus attrayante, curieusement aucun de ces modèles n'aura finalement été retenu.
Aout 2020 essai du modèle Lion's City 12 E du constructeur MAN
A l'été 2020 c'était au tour du constructeur MAN de présenter, pour un essai en conditions réelles, son bus électrique. Dans la gamme Lion's City, il s'agit du modèle 12 E. Comme le Mercedes électrique, ce modèle circulait avec les stickers de TBM. Parmi les modèles testés, seuls ceux de MAN et de BOLLORE ont poussé le détail jusqu'à adopter la couleur orange pour l'affichage de la destination comme c'était alors la règle pour tous les bus du réseau.
Même si ce MAN électrique a exceptionnellement circulé sur les quais, comme les modèles concurrents, il a pu être testé et emprunté par les passagers de la ligne 15.
Ce modèle n'a manifestement pas été retenu car on ne l'a plus jamais revu circuler sur le réseau TBM.
Octobre 2019 le modèle eCITARO de Mercedes sur la ligne 15
Après les bus électriques Heuliez, Bolloré et Yutong, en octobre 2019 c'est au tour d'un bus Mercedes de faire son apparition dans les rues de Bordeaux. Cette fois ci il s'agit de la variante électrique du modèle CITARO.
Comme c'était déjà le cas pour les modèles Yutong et Bolloré,
c'est sur la ligne 15 reliant le Centre Commercial de Bordeaux Lac à
Villenave d'Ornon qu'est effectué cet essai.
Le Citaro électrique dispose d’une autonomie pouvant alors tenir jusqu'à 250 kilomètres. De futures déclinaisons s'appuyant sur de récentes générations de batteries lithium-ion, ou même avec la technologie électrique à pile à hydrogène, devraient rapidement voir le jour. Chaque nouvelle génération ayant pour objectif une autonomie toujours plus importante.
On notera que dans la version présentée le modèle eCitaro est déjà en utilisation en Allemagne dans les villes d’Hambourg et de Berlin.
Si en 2023 les bordelais ont pu découvrir un modèle CITARO de Mercedes sur la ligne 80 (et plus tard sur la ligne 6), il ne s'agit pas du modèle électrique, mais d'une version hybride C2.
Bus électrique Bluebus 12 mètres de Bolloré
Après le premier essai d'un autobus éclectique Heuliez en septembre 2018, au printemps 2019 c'est le modèle Bluebus du groupe Bolloré dans sa version 12 mètres qui a été présenté aux bordelais.
L'idée de
cet essai consistait à observer concrètement le comportement de ce
modèle électrique dans des conditions normales d'exploitation.
Si de nombreux éléments ont été examinés, à n'en pas douter c'est tout de même le résultat sur l'autonomie des batteries (et leur temps de recharge) qui aura été plus particulièrement scruté.
D'autres marques disposant aussi de modèles électriques devraient également les présenter pour le même type d'essai sur le réseau bordelais. S'il s'agit d'établir des comparaisons de performances entre les différents modèles, on peut imaginer que les nouveaux essais se fassent à l'identique.
Si tel était le cas les passagers de la ligne 15 pourraient rapidement prendre gout au silence du bus électrique.
Finalement ce bus électrique n'aura plus jamais circulé sur le réseau bordelais.
Bus électrique GX 337 E du constructeur HEULIEZ
Il s'agit du premier bus 100% électrique a voir été présenté aux utilisateurs bordelais des transports en commun.
La tendance est à l'électrique et les transports en commun n'échappent pas à cette évolution. Il faut dire qu'en la matière les progrès sont constants et rapides. S'il y a encore peu de temps les modèles électriques étaient réservés aux navettes de centre ville avec un nombre de passagers réduit, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Il existe désormais pratiquement toutes les formules d'autobus accessibles en mode électrique, y compris des bus articulés.
Tout naturellement Bordeaux Métropole s'intéresse à ce type de véhicule. C'est ainsi qu'en septembre 2018, et pendant 3 jours, les Bordelais ont pu découvrir et essayer un bus 100 % électrique.
Il s'agissait du modèle GX 337 E du constructeur Français Heuliez Bus.
Un modèle 100 % électrique ayant déjà été montré à Paris et La Rochelle. Pour la petite histoire, ce modèle présenté à Bordeaux devrait rejoindre la flotte des bus circulant à Bruxelles pour une utilisation quotidienne bien réelle.
Ce bus présenté par Kéolis et aux couleurs de la RATP est en tout point comparable aux autres bus du réseau. Si comme cela était affiché sur le modèle de démonstration l'intérêt premier de ce type d'autobus est son mode "100% éclectique - zéro émission", le passager bénéficie d'un confort supplémentaire : le silence !
Pour avoir emprunté cet autobus de présentation, je dois reconnaitre que l'absence de bruit de moteur offre un agrément indéniable. Une ambiance différente qui, toutes proportions gardées, m'a rappelé les sensations que j'avais éprouvées lors de mes précédents essais des voitures électriques Model S et Model X de Tesla.
Soyons francs, concernant le bus électrique on ne mesure pleinement le silence retrouvé que dans des conditions particulières. Il faut être dans une période de roulage sur une zone non embouteillée pour ne pas être pollué par le bruit extérieur des autres véhicules. Dans l'itinéraire qui était proposé entre la place des Quinconces et la place Stalingrad, c'est sur le pont de pierre que l'on pouvait le mieux apprécier cette sensation de silence.
Le bus électrique est silencieux, parfois trop !
Il est intéressant de noter que cette notion de silence bouleverse certaines habitudes et doit faire l'objet d'attentions nouvelles. En l'absence de bruit moteur les bruits intérieurs qui sont habituellement imperceptibles deviennent clairement audibles. Le constructeur doit donc être particulièrement attentif pour que les ajustements, les matériaux, les accessoires ne présentent pas de bruits parasites trop importants. Pour l'extérieur, c'est le phénomène inverse qui est provoqué. Comme pour le tram, les usagers qu'ils soient piétons ou cyclistes risquent d'être surpris par la présence du bus qu'ils n'ont pas entendu. Des recherches sont donc menées pour créer... l'émission d'un son artificiel !
Un bus 100% électrique bientôt à Bordeaux ?
Il est encore un peu tôt pour connaitre les suites qui seront données à cet essai, mais il y a fort à parier que dans les années à venir des bus 100% électriques devraient circuler à Bordeaux. D'autant qu'avec son réseau d'alimentation par le sol pour son tramway, Bordeaux à l'avantage de déjà disposer des infrastructures suffisantes et bien dimensionnées pour assurer dans les meilleures conditions la charge d'une flotte de bus.
Le METTIS de la ville de Metz en présentation pour la future ligne G
En 2016 alors que le projet de ligne entre la Gare saint Jean et Saint Aubin du Médoc se dessinait, on parlait alors d'une nouvelle catégorie de bus, le BHNS. Un acronyme pour désigner un Bus à Haut Niveau de Services. Pour que chacun puisse découvrir et apprécier ce nouveau mode de transport, le METTIS déjà en service dans la ville de Metz a été présenté aux bordelais. A ce moment là on ne savait pas que le projet allait rencontrer de multiples difficultés, pas plus que ce nouvel itinéraire prendrait l'appellation de Ligne G.
ARCHIVE : Entre 2016 et 2024, les turbulences d'un projet souvent malmené
Comme
toujours lorsqu'il s'agit de mettre sur pied un projet innovant, il
y a les enthousiastes et les détracteurs. Ici les opposants mettent
en cause le principe même de ce mode de transport sur cet axe, avec
en ligne de mire certaines rues trop étroites du quartier
Saint-Seurin. Un point qui
constituerait une importante source de nuisance pour les riverains.
Déclaration publique annulée !
Premier round gagné par les différentes associations mettant en cause le BHNS car en juillet 2018 le tribunal administratif de Bordeaux a annulé la déclaration publique de ce projet. Pour autant Bordeaux Métropole, le porteur du projet, semble résolu de ne pas en rester là et doit interjeter appel de cette décision. Les contretemps, jugements et retards s'accumulant, on se posait alors la question : verra-t-on un jour un BHNS sur cette ligne à Bordeaux ?
Des arguments économiques en faveur du BHNS
Au plan économique les 21 kilomètres de cette ligne ont
quelques arguments à faire valoir. Lorsqu'on sait que le kilomètre
de tramway revient pratiquement à 20 millions d'euros alors que le
même kilomètre pour le BHNS se situe aux alentours de 5 millions
d'euros, on comprend où se situe l'intérêt pour la collectivité. Ce
n'est pas par hasard que d'autres grandes villes telles que Metz ou
Nantes ont adopté ce mode de transport.
En
l'état, on peut seulement être sur que l'on n'empruntera pas de BHNS
à Bordeaux en 2020 comme cela était initialement prévu. Un retard
mis à profit pour élargir le champ de la réflexion, notamment dans
le choix de la motorisation qui semble s'orienter vers un système
électrique.
Le Bus à Haut Niveau de Service, comme son nom l'indique est avant tout un bus. Ce qui le distingue d'un autobus classique, en dehors de sa grande longueur, est qu'il offre un service en matière de confort et de régularité qui est assez proche de celui du tramway. Le cout de sa mise en œuvre étant bien inférieur à celui du tramway, il peut être utilisé sur des zones ou la densité de population est moindre. Pour cette ligne comportant 40 stations c'est un cout de 100 millions d'euros, matériel roulant compris, qui était alors annoncé lors du lancement du projet.
Concernant les services qui justifient son appellation, le BHNS bénéficie d'une aide au franchissement des carrefours ce qui lui assure une certaine régularité, d'autant plus qu'il circulera sur à peu près 50% de son parcours en site dédié. Confortable car bénéficiant d'un revêtement de chaussée remis en état, il dispose également d'écrans d'information pour les voyageurs ainsi que du Wifi. En heure de pointe la fréquence de passage prévue serait de 5 minutes. Comme pour le tram, les billets du BHNS ne seront pas vendus dans le véhicule mais à un distributeur de titres de transport disponibles aux stations.
Le détail des 40 stations initialement prévues entre Saint Aubin et la gare Saint Jean
Saint Aubin Viillepreux - Croix Vieille - Eglise de Saint Aubin - Van Gogh - Lycée Sud Médoc - Les Escarrets - Mairie de Saint Médard - République - Route de Corbiac - Gadret - Château de Gajac - Herriot - Berlincan - Rue du Médoc - Mairie du Haillan - Ruet - Collège Emile Zola - Mermoz - Guynemer - Antoune - La forêt - Le grand Louis - Parc d'échange du Caillou - Cage verte - Pind francs - Stade Stéhelin - Saint Amand - Vélodrome - Grand Lebrun - Rue de Caudéran - Gabriel Delaunay - Roger Allo - Martyrs de la Résistance - Mériadeck - Palais de justice - Bourse du travail - Victoire - Capucins - Meunier - Gare Saint Jean
C'est le bus 100% électrique CITEA du constructeur VDL qui a été finalement retenu
DU PROJET DE 2016 A LA LIGNE MISE EN SERVICE EN 2024 - FINALEMENT UN BUS ELECTRIQUE ARTICULE
Le détail des stations réellement desservies en 2024
BORDEAUX MECA - Gare Saint Jean (cours de la Marne) - Lycée Gustave Eiffel - Capucins - Victoire - Bourse du Travail - Palais de justice - Gambetta Mériadeck - Saint Seurin - Lycée Camille Jullian - Croix Blanche - Barrière Saint Médard - Parc Bordelais - Grand Lebrun - Caudéran Centre - Collège saint André - Stade Stéhelin - Cage Verte - Caillou - Le Grand Louis - La Forêt - Germaine Tillon - Saint Exupéry - Mermoz - Collège Emile Zola - Mairie du haillan - Rue du Médoc - Berlincan - Centre Commercial Saint Médard - Château de Gajac - Bords de Jalles - Montaigne - République
DIRECTION SAINT MEDARD ISSAC : Eglise de saint Médard - Cimetière Balanguey - Victor Hugo - Hastignan Bourg - Collège Hastignan - Espace Aquatique - Village de Cerillan - Belfort - Village d'Issac - Malterre - Terminus Saint Médard Issac.
DIRECTION SAINT AUBIN VILLEPREUX : Mairie de saint Médard - Les escarrets - Euromédoc - Lycée Sud Médoc - Germignan - Eglise de Saint Aubin - Croix Vieille - Terminus Saint Aubin Villepreux
Une motorisation de type hybride à Metz...
Le modèle du constructeur VAN HOOL qui circule à Metz est un véhicule hybride. Il est équipé d'un moteur thermique (diesel) MAN seulement destiné à produire de l'électricité stockée dans les batteries ou pour alimenter directement le moteur électrique de traction SIEMENS.
Concernant la spécificité de ce moteur hybride, Metz Métropole
précisait sur son site les informations suivantes : " La technologie hybride est basée principalement sur la
récupération d’énergie de freinage : cette récupération est totale
si l’on freine à l’aide de la manette au volant, et partielle si
l’on freine au pied. Le stockage de l’énergie est fait par des
super-condensateurs, qui se rechargent en quelques secondes et/ou
par des batteries au lithium. L’énergie dégagée lors du freinage est
stockée et libérée lors du départ ou lorsque le bus a besoin
d’énergie supplémentaire.
Grâce à cette énergie récupérée, un BHNS METTIS pourra parcourir jusqu’à 200 m avant que le moteur thermique ne prenne le relais. À vitesse constante, l’électricité est transmise au moteur de traction électrique via les convertisseurs ou stockée dans les batteries, lors d’une descente par exemple.
... Grâce à la récupération d’énergie au freinage, la
consommation de carburant, et donc l’émission de gaz d’échappement,
baissent considérablement. L’utilisation de la technologie hybride
permettra de diminuer la consommation jusqu’à 25 % par rapport à un
bus classique, réduisant d’autant l’émission de substances nocives."
Et 100% électrique à Bordeaux ?
On peut mesurer une évolution technique rapide en observant par exemple les choix de la ville de Nantes. En 2006 pour le lancement de son BUSWAY ce sont des autobus Mercedes-Benz de type Citaro longs de 18 mètres et propulsés au gaz naturel qui étaient utilisés. En 2017 le nouveau marché a été attribué à un constructeur Suisse (HESS) pour un modèle BUSWAY désormais long de 24 mètres avec une formule électrique. On peut imaginer que le modèle qui sera retenu à Bordeaux offrira les meilleures performances du moment. On semble d'ailleurs s'orienter aujourd'hui vers un modèle 100% électrique.
BLUECUB les automobiles électriques en location
Entre 2013 et 2018 un service d'automobiles électriques en utilisation partagée a été disponible dans les principales villes de la métropole bordelaise. Sous l'appellation BLUECUB (référence à la Communauté Urbaine de Bordeaux) il s'agissait essentiellement de voitures Bluecar du groupe Bolloré. Un modèle dont le design était signé Pirinfarina.
Par la suite sous la désignation BLUECUB on a pu apercevoir des modèles TWIZI de Renault et C Zero de Citroën, mais de façon très minoritaire.
Selon
les informations figurant alors sur certaines stations,
la promesse était faite de disposer d'une des voitures électriques en moins
de 10 minutes. Le système se présentait comme un service tout compris
et sans caution.
Après inscription au service la délivrance d'un badge Bluecub permettait de s'identifier sur les bornes des stations pour chaque nouvelle utilisation. L'inscription au service était annoncée à 8,25 Euros par mois, puis le tarif à l'utilisation étant facturé 0,20 Euros la minute.
Si à Bordeaux le nom générique de cette voiture 4 places 100%électrique est Bluecar, on la retrouvait aussi sous différentes appellations en fonction des villes où elle est implantée : Autolib' à Paris, Bluely à Lyon, Bluecub à Bordeaux et Bluindy à Indinianapolis aux Etats Unis. Elles étaient dotées d'un moteur électrique de 50kW et d'une boîte de vitesse automatique. Se déplaçant donc de façon silencieuse, et sans rejeter de gaz polluants.
Quelques modèles de la voiture 2 places TWIZY de Renault se sont ajoutés en 2015 à la flotte des véhicules disponibles. Les premières Bluecub étaient à Bordeaux de couleur argentée, les derniers modèles apparus étaient ensuite d'un gris uniforme. On a également pu voir des Bluecar de couleur rouge qui étaient présentées comme voiture utilitaire.
Impossible de parler de véhicule électrique sans aborder le sujet de l'autonomie. Et de ce point de vue, selon les informations fournies sur le site Bluecub la batterie offrirait un stockage d'énergie "5 fois plus important que pour un modèle de batterie ordinaire". Pour une recharge complète c'est une durée de 8 heures qui était annoncée. La Bluecar était également un véhicule connecté, équipé d'un GPS pour guider et réserver une place à l'une des stations de destination.
Les Bluecub étaient réparties sur Bordeaux et différentes communes de Bordeaux Métropole (Bègles, Bruges, Cenon, Floirac, Le Bouscat, Mérignac, Pessac, Talence, Villenave d'ornon). On trouvait également les Bluecar à Arcachon. Un peu sur le principe des véhicules de type Vélib (Vcub à Bordeaux) les automobiles électriques étant accessibles dans des stations qui comptaient plusieurs véhicules (souvent 5), chacun ayant sa propre borne de recharge.
Manque de rentabilité, arrêt définitif à l'été 2020
A son apogée le service Bluecub présentait 200 automobiles, accessibles sur 80 stations, et revendiquait un total de 5000 abonnés.
La période de pandémie a sans doute contribué à accélérer une fin que certains pressentaient depuis déjà quelques temps. Faute de rentabilité, tout comme les Autolib de Paris, les Bluecar en auto partage ont été définitivement retirées le 31 aout 2020. Quelques ventes ayant été faites à des particuliers, ont peut encore parfois en voir circuler dans les rues de Bordeaux.
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